Il est désormais minuit moins trois à l’horloge de la fin du monde. Evoquant les «menaces extraordinaires et incontestables» posées par «le changement climatique incontrôlé, la modernisation des armements nucléaires mondiaux et les arsenaux nucléaires démesurés», le Bulletin of Atomic Scientists a décidé d’avancer de deux minutes l’aiguille m